En cette Semaine Missionnaire Mondiale, comment ne pas prendre dans notre pensée et notre prière les souffrances, mais aussi le courage de nos frères et soeurs persécutés pour leur foi ? Au Burkina-Faso comme dans tant d'autres pays en détresse sur notre terre...
Puisse leur vaillance nous faire grandir dans notre propre attachement au Christ et à l'avenir de notre Eglise, ici et au-delà !
Le Burkina-Faso vient de subir un énième massacre, cette fois-ci à Manni, un village du nord-est du pays composé de 80% de chrétiens. Ce dimanche 6 octobre, les terroristes ont d’abord coupé tous les réseaux mobiles du village avant de l’attaquer. Ils se sont ensuite rendus au marché local, où de nombreux Burkinabè étaient rassemblés après la messe. Là, ils ont ouvert le feu sur la foule, sans discernement. Ils sont ensuite rentrés dans les maisons et les magasins pour tuer ceux qui s’y étaient réfugiés, puis y ont mis le feu. Certaines personnes ont été brûlées vives.
Ils sont ensuite repartis, laissant la ville sous le choc. Les blessés ont été évacués vers l’hôpital public. Mais le lendemain, à 6h du matin, les terroristes sont revenus, incendiant les voitures, tirant sur le personnel médical et entrant dans les chambres pour achever les blessés.
Et comme si tout cela ne suffisait pas, les assaillants sont à nouveau revenus le mardi 8 octobre à Manni, pour massacrer tous les hommes qu’ils trouvaient dans la ville. Au total, on dénombre plus de 150 morts. Sans compter les nombreux blessés.Beaucoup de victimes venaient des villages des environs, qui avaient déjà été chassées par les terroristes et étaient venues chercher refuge à Manni.
Dans un message adressé aux prêtres, aux consacrés et aux laïcs le 9 octobre, l’évêque du diocèse de Fada N’Gourma, Mgr Pierre Claver Malgo, qualifie l’attaque de « barbare » et exprime sa « sincère compassion à toutes les familles endeuillées ».
Un Burkinabè a confié : « La situation est plus qu’horrible », mais, a-t-il ajouté : « Même si les terroristes ont tout brûlé, ils n’ont pas brûlé notre foi !"
L’attaque à Manni s’inscrit dans un contexte de dégradation continue de la sécurité au Burkina Faso, en proie aux attaques terroristes depuis 2015. Fin août, le pays a connu à Barsalogho le pire massacre de son histoire (au moins 400 morts selon les informations. Le Burkina Faso compte plus de deux millions de personnes déplacées.
Dans ce contexte, l’Eglise universelle continue plus que jamais à soutenir l’Église locale et les victimes des attaques terroristes (soutien alimentaire, aide aux personnes traumatisés, restauration de bâtiments d’églises attaqués, soutien aux séminaristes….).
Questions, en cette semaine des Missions :
- en quoi un tel fait nous interpelle-t-il ?
- qu'est-ce que cela nous invite à changer, dans notre vie comme dans la vie et l'action de notre Eglise,, chez nous et en Occident ?
Le Burkina-Faso vient
de subir un énième massacre, cette fois-ci à Manni, un village du
nord-est du pays composé de 80% de chrétiens. Ce dimanche 6 octobre, les
terroristes ont d’abord coupé tous les réseaux mobiles du village avant
de l’attaquer. Ils se sont ensuite rendus au marché local, où de
nombreux Burkinabè étaient rassemblés après la messe. Là, ils ont ouvert
le feu sur la foule, sans discernement. Ils sont ensuite rentrés dans
les maisons et les magasins pour tuer ceux qui s’y étaient réfugiés,
puis y ont mis le feu. Certaines personnes ont été brûlées vives.
Ils sont ensuite repartis, laissant la ville sous le choc. Les blessés
ont été évacués vers l’hôpital public. Mais le lendemain, à 6h du matin,
les terroristes sont revenus, incendiant les voitures, tirant sur le
personnel médical et entrant dans les chambres pour achever les blessés.
Assassinats systématiques
Manni, peu après les attaques d’octobre 2024 © AED
Manni, peu après les attaques d’octobre 2024 © AED
Et comme si tout cela ne suffisait pas, les assaillants sont à nouveau
revenus le mardi 8 octobre à Manni, pour massacrer tous les hommes
qu’ils trouvaient dans la ville.
Au total, on dénombre plus de 150 morts. Sans compter les nombreux
blessés.Beaucoup de victimes venaient des villages des environs, qui
avaient déjà été chassées par les terroristes et étaient venues chercher
refuge à Manni.
Dans un message adressé aux prêtres, aux consacrés et aux laïcs le 9
octobre, l’évêque du diocèse de Fada N’Gourma, Mgr Pierre Claver Malgo,
qualifie l’attaque de « barbare » et exprime sa « sincère compassion à
toutes les familles endeuillées ».
Un Burkinabè a confié à l’AED : « La situation est plus qu’horrible »,
mais, a-t-il ajouté : « Même si les terroristes ont tout brûlé, ils
n’ont pas brûlé notre foi ! »
L’attaque à Manni s’inscrit dans un contexte de dégradation continue de
la sécurité au Burkina Faso, en proie aux attaques terroristes depuis
2015. Fin août, le pays a connu à Barsalogho le pire massacre de son
histoire (au moins 400 morts selon les informations recueillies
entre-temps par la fondation). Le Burkina Faso compte plus de deux
millions de personnes déplacées.
Dans ce contexte, l’AED continue plus que jamais à soutenir l’Église
locale et les victimes des attaques terroristes (soutien alimentaire,
aide aux personnes traumatisés, restauration de bâtiments d’églises
attaqués, soutien aux séminaristes….)
Sina Hartert
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Congrès national de la Société chirurgicale italienne © Vatican Media
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les terroristes sont revenus, incendiant les voitures, tirant sur le
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Manni, peu après les attaques d’octobre 2024 © AED
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le feu sur la foule, sans discernement. Ils sont ensuite rentrés dans
les maisons et les magasins pour tuer ceux qui s’y étaient réfugiés,
puis y ont mis le feu. Certaines personnes ont été brûlées vives.
Ils sont ensuite repartis, laissant la ville sous le choc. Les blessés
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les terroristes sont revenus, incendiant les voitures, tirant sur le
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Manni, peu après les attaques d’octobre 2024 © AED
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Et comme si tout cela ne suffisait pas, les assaillants sont à nouveau
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qu’ils trouvaient dans la ville.
Au total, on dénombre plus de 150 morts. Sans compter les nombreux
blessés.Beaucoup de victimes venaient des villages des environs, qui
avaient déjà été chassées par les terroristes et étaient venues chercher
refuge à Manni.
Dans un message adressé aux prêtres, aux consacrés et aux laïcs le 9
octobre, l’évêque du diocèse de Fada N’Gourma, Mgr Pierre Claver Malgo,
qualifie l’attaque de « barbare » et exprime sa « sincère compassion à
toutes les familles endeuillées ».
Un Burkinabè a confié à l’AED : « La situation est plus qu’horrible »,
mais, a-t-il ajouté : « Même si les terroristes ont tout brûlé, ils
n’ont pas brûlé notre foi ! »
L’attaque à Manni s’inscrit dans un contexte de dégradation continue de
la sécurité au Burkina Faso, en proie aux attaques terroristes depuis
2015. Fin août, le pays a connu à Barsalogho le pire massacre de son
histoire (au moins 400 morts selon les informations recueillies
entre-temps par la fondation). Le Burkina Faso compte plus de deux
millions de personnes déplacées.
Dans ce contexte, l’AED continue plus que jamais à soutenir l’Église
locale et les victimes des attaques terroristes (soutien alimentaire,
aide aux personnes traumatisés, restauration de bâtiments d’églises
attaqués, soutien aux séminaristes….)
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de subir un énième massacre, cette fois-ci à Manni, un village du
nord-est du pays composé de 80% de chrétiens. Ce dimanche 6 octobre, les
terroristes ont d’abord coupé tous les réseaux mobiles du village avant
de l’attaquer. Ils se sont ensuite rendus au marché local, où de
nombreux Burkinabè étaient rassemblés après la messe. Là, ils ont ouvert
le feu sur la foule, sans discernement. Ils sont ensuite rentrés dans
les maisons et les magasins pour tuer ceux qui s’y étaient réfugiés,
puis y ont mis le feu. Certaines personnes ont été brûlées vives.
Ils sont ensuite repartis, laissant la ville sous le choc. Les blessés
ont été évacués vers l’hôpital public. Mais le lendemain, à 6h du matin,
les terroristes sont revenus, incendiant les voitures, tirant sur le
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qu’ils trouvaient dans la ville.
Au total, on dénombre plus de 150 morts. Sans compter les nombreux
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avaient déjà été chassées par les terroristes et étaient venues chercher
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été brûlées vives.
Ils sont ensuite repartis, laissant la ville sous le choc. Les blessés
ont été évacués vers l’hôpital public. Mais le lendemain, à 6h du matin,
les terroristes sont revenus, incendiant les voitures, tirant sur le
personnel médical et entrant dans les chambres pour achever les blessés.
Assassinats systématiques
Manni, peu après les attaques d’octobre 2024 © AED
Manni, peu après les attaques d’octobre 2024 © AED
Et comme si tout cela ne suffisait pas, les assaillants sont à nouveau
revenus le mardi 8 octobre à Manni, pour massacrer tous les hommes
qu’ils trouvaient dans la ville.
Au total, on dénombre plus de 150 morts. Sans compter les nombreux
blessés.Beaucoup de victimes venaient des villages des environs, qui
avaient déjà été chassées par les terroristes et étaient venues chercher
refuge à Manni.
Dans un message adressé aux prêtres, aux consacrés et aux laïcs le 9
octobre, l’évêque du diocèse de Fada N’Gourma, Mgr Pierre Claver Malgo,
qualifie l’attaque de « barbare » et exprime sa « sincère compassion à
toutes les familles endeuillées ».
Un Burkinabè a confié à l’AED : « La situation est plus qu’horrible »,
mais, a-t-il ajouté : « Même si les terroristes ont tout brûlé, ils
n’ont pas brûlé notre foi ! »
L’attaque à Manni s’inscrit dans un contexte de dégradation continue de
la sécurité au Burkina Faso, en proie aux attaques terroristes depuis
2015. Fin août, le pays a connu à Barsalogho le pire massacre de son
histoire (au moins 400 morts selon les informations recueillies
entre-temps par la fondation). Le Burkina Faso compte plus de deux
millions de personnes déplacées.
Dans ce contexte, l’AED continue plus que jamais à soutenir l’Église
locale et les victimes des attaques terroristes (soutien alimentaire,
aide aux personnes traumatisés, restauration de bâtiments d’églises
attaqués, soutien aux séminaristes….)
Sina Hartert
octobre 18, 2024 18:41Chrétiens persécutés
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réconciliation. Elle soutient les chrétiens partout dans le monde, là où
ils sont confrontés aux persécutions et difficultés matérielles.
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François répond
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2024
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pape François répond octobre 18, 2024
Le pape aux G7 : « accroître l’inclusion » des personnes de «
capacités différentes » octobre 18, 2024
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octobre 18, 2024
Le pape aux G7 : « accroître l’inclusion » des personnes de «
capacités différentes » – 8 titres, vendredi 18 octobre 2024 octobre 18,
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Saint-Michel de Kergonan : des bénédictines à deux pas de l...
Congrès national de la Société chirurgicale italienne © Vatican
Media Que doit faire le chirurgien face au patient qu’il doit opérer...
Symboles ésotériques, églises en feux : l'archevêque de Toulouse
réagit © metropole.toulouse.fr Mgr Guy de Kerimel : « On ne peut pas
jouer impunément avec une symb...
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« Sep
Pape François
Congrès national de la Société chirurgicale italienne © Vatican Media
Que doit faire le chirurgien face au patient qu’il doit opérer ? Le pape
François répond
Discours du pape aux membres de la Société italienne de Chirurgie (texte
intégral)
Le pape François a reçu en audience une délégation de ministres
participant au G7 sur l'inclusion et le handicap dans la salle du
Consistoire du Saint-Siège © Vatican Media
Le pape aux G7 : « accroître l’inclusion » des personnes de « capacités
différentes »
Adresse du pape à la délégation de ministres participant au G7 sur
l’inclusion et le handicap (texte intégral)
Journée mondiale pour l'alimentation 2017, FAO © L'Osservatore Romano
« L’humanité a besoin de toute urgence de mesures efficaces pour mener
une vie meilleure »
Message du Saint-Père pour la Journée mondiale de l’alimentation 2024
vaticannewsvaticanva
19.10.2024
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américains
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18.10.2024
Le Pape reçoit le Président Boakai du Liberia
Burkina Faso : Nouveau massacre contre des chrétiens | ZENIT - FrançaisPlus de 150 personnes-
dont de nombreux chrétiens- ont été massacrés par des terroristes à
Manni, dans le nord-est du pays, le 6 octobre.
Le Burkina-Faso vient de subir un énième massacre, cette fois-ci à
Manni, un village du nord-est du pays composé de 80% de chrétiens. Ce
dimanche 6 octobre, les terroristes ont d’abord coupé tous les réseaux
mobiles du village avant de l’attaquer. Ils se sont ensuite rendus au
marché local, où de nombreux Burkinabè étaient rassemblés après la
messe. Là, ils ont ouvert le feu sur la foule, sans discernement. Ils
sont ensuite rentrés dans les maisons et les magasins pour tuer ceux qui
s’y étaient réfugiés, puis y ont mis le feu. Certaines personnes ont
été brûlées vives.
Ils sont ensuite repartis, laissant la ville sous le choc. Les blessés
ont été évacués vers l’hôpital public. Mais le lendemain, à 6h du matin,
les terroristes sont revenus, incendiant les voitures, tirant sur le
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4 commentaires:
Merci Olivier de nous parler de ce pays qui nous est si cher avec ces habitants que nous considèrons comme des amis depuis bientôt 40 ans de jumelage. Que pouvons nous faire sinon les soutenir et ne pas les laisser tomber malgré les difficultés rencontrées. Merci encore de parler d'eux chrétiens et musulmans et de toutes religions.
Comment ne pas être interpelé par la lecture de ce blog et celle du précédent ?… Mali, Burkina, pays d’Afrique si régulièrement oubliés par nos informations occidentales et où se vivent de telles atrocités. Chrétienne, je suis évidemment consciente de ma chance de pouvoir vivre ma Foi en toute liberté ! Mon sentiment d’impuissance devant les catastrophes qui s’accumulent en ce moment (Moyen-Orient, Ukraine, Amérique…, sans parler de notre planète !)) me submerge parfois, mais mon Espérance au Christ Ressuscité me pousse à résister au désespoir qui écrase et tétanise. Résister, c’est Vivre, c’est donner des raisons de vivre ! C’est ce que j’ai pu constater hier soir.
A 21h, sur Public Sénat, était diffusé un documentaire : « Résister pour la Paix ». Ce documentaire était présenté, en particulier, par Hannah Assouline, fondatrice des « Guerrières pour la Paix » qui réunit des femmes israéliennes et palestiniennes. En Israël, elle avait réalisé avec une autre journaliste un documentaire juste avant le 7 octobre. Elles y sont retournées au printemps 2024. Si des témoignages sont durs, ils démontrent que des hommes et des femmes, blessés dans leur chair, meurtris dans leur vie quotidienne, restent DEBOUTS. Ils sont juifs, musulmans, chrétiens,… Ils gardent Espérance en l’Etre Humain et continuent d’agir. Ils m’ont (re)donnée l’élan, la force de croire en une paix possible, partout sur notre terre, malgré cette réalité qui nous démontre que, comme je l’entends souvent : « Là-bas, c’est foutu ! …Partout, l’Homme se détruit… On va dans le mur ».
Que les paroles et les actions de ces femmes et ces hommes puissent être entendues largement ! En ce dimanche missionnaire, que leur exemple soit la preuve que L’Esprit est toujours à l’œuvre et qu’Il nous attend là où nous sommes pour construire La Paix en nous et autour de nous.
En cette Semaine Missionnaire Mondiale, merci de nous interroger sur ce que vivent nos frères et soeurs persécutés pour leur foi . Une occasion de les soutenir et de les porter dans la prière.
Chacun de nous est appelé à prendre part à cette mission universelle par son propre témoignage évangélique, dans tous les milieux, selon sa condition de vie. Faire en sorte que l'Eglise ne cesse de sortir " vers les carrefours des routes " du monde d'aujourd'hui.
Que notre Eglise locale soit plus ouverte aux Eglises des autres continents. Que nous-mêmes soyons attentifs aux personnes dans le besoin chez nous et ailleurs. (aide alimentaire, appels au don... )
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