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Vous vous posez des questions, pour donner un sens à votre vie...
Vous cherchez un espace d'échange convivial pour exprimer ce que vous ressentez...
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...Alors, en réponse à vos attentes, Olivier Gaignet vous propose de vous exprimer librement.
Ici, tout pourra être dit dans les limites de la courtoisie et du respect mutuel.

Merci d'avance de votre participation.


Depuis novembre 2007, Olivier Gaignet partage sur son blog ses réflexions sur Dieu et sur l’Eglise. bien sûr,
mais aussi sur la marche du monde. Il nous invite à réfléchir à des thèmes aussi essentiels que : notre société, les autres religions,
la télé, la politique, l’art, sans oublier ses propres paroissiens.
Les billets des cinq premières années (de novembre 2007 à septembre 2012 )ne figurent plus sur ce blog. Pour les consulter, se référer aux cinq volumes intitulés: "Ma paroisse.com", que vous pouvez vous procurer en envoyant un mail à : olivier.gaignet@yahoo.fr



vendredi 26 décembre 2014

Le Blog de l'Arche de Noé 85, n° 1.819 : Jésus "hors les murs", dans une salle polyvalente, à Mortagne

Très déçue, cette jeune dame passant au presbytère, accompagnée d'un enfant, dans l'après-midi du mercredi 24 décembre, pour demander les heures et lieux des messes de la nuit de Noël sur la paroisse, quand je lui apprends que la messe, à Mortagne, ne sera pas célébrée à l'église, mais à la salle polyvalente de la commune de Mortagne !
"Une salle polyvalente ?  Pour une messe de Noël ?  Mais, pour une fête comme Noël, pourquoi pas à l'église ?"
J'essayai de lui expliquer que l'assistance serait si nombreuse que jamais la foule ne tiendrait dans notre église : celle-ci ne pouvant guère accueillir plus de 500 personnes !  600, 700 peut-être, mais dont 200 debout dans les allées : inconcevable !
Le soir du 24, à l'accueil à l'entrée de cette salle, je revois encore la stupeur de certains, non habitués des fêtes de Noël dans cette grande salle, en découvrant le nombre de personnes présentes : impressionnant en effet, et en nombre de plus en plus grand chaque année ; 750 personnes en 2011, peut-être 900 cette année !  Comme l'an passé, on a encore dû sortir pas mal de chaises au dernier moment.
Accueil magique d'abord, dans la douceur des chants de Noël interprétés par la chorale, soutenue par notre organiste. En n'oubliant pas les dizaine de gros bras qui ont passé la matinée à préparer cette salle, à la décorer, à y installer une crèche en ombres chinoises, etc...
Puis, la veillée commence, tandis que la salle est plongée dans l'obscurité. C'est alors qu'avec une quarantaine d'interprètes, de tous âges, se déroule un jeu scénique, dans la salle comme sur la scène, dont je vous donne le texte ci-après.
Les faits cités proviennent des 60 réponses remontées de l'enquête lancée sur Mortagne, pendant l'Avent, sur la façon dont nous repérons chez nous la Lumière de Noël.
Tous, pendant cette veillée et la messe qui a suivi, nous avons senti que Jésus était bien là, en train de naître, d'arriver parmi nous, en nous ; et cela, comme jadis à Bethléem, non pas dans une synagogue ou un Temple, ni même dans une église, mais bien hors des murs "sacrés", dans un lieu public, un lieu symbolisant le coeur même de notre société et ses périphéries, si chères au pape François !


VEILLEE  QUI  A  PRECEDE  LA  MESSE  DE  LA  NUIT  DE  NOEL  2014   A   LA  SALLE   POLYVALENTE   DE   MORTAGNE

(sur le thème de la LUMIERE : Noël, fête de la Lumière !)

Banderole au-dessus de la scène :  « Ce qui fait l’homme, c’est la lumière »  (Victor Hugo)

On éteint l’éclairage

L’orgue joue un air « sombre », un peu obscur, 30 sec.

1° temps :  Une étoile dans la nuit

Germaine : «  Depuis longtemps déjà, la nuit était tombée.                                                                                                                                                                                                                                  Une Une nuit lourde, pesante, douloureuse et sans fin.

L’obscurité recouvrait le monde.
Souffrance, douleur, égoïsme, deuil et misère étaient le pain quotidien de l’humanité.
Et pourtant, cette nuit-là, malgré les obstacles et les embûches, des enfants, des femmes, des hommes, en recherche de lumière, continuaient d’avancer… »

Sœur Jeanne Marie :  « Tout au long de cette veillée, les faits qui vont être cités ont été pris sur les tracts-enquête verts qui avaient été proposés à tous, et qui ont été remplis par des enfants du caté, des confirmands et des paroissiens ; merci à eux ! 
Ces faits ont été envoyés de façon anonyme : les lecteurs ne sont pas les auteurs des textes.
Nous ne citerons pas tous les faits ce soir, faute de place ; mais tous les faits reçus ont été rassemblés dans un livret qui sera distribué à la fin de cette célébration. »

Illustration à l’orgue, tonalité toujours sombre, 15 sec.

Alors, un groupe, diversifié en âge, se met en marche, à partir du fond, sur le côté gauche (groupe composé de tous les intervenants et des personnes qui les accompagnent.
Assez vite, ils butent dans des obstacles, qui auront été placés à l’avance sur leur chemin (chaises, etc…), en faisant du bruit ; ils butent aussi les uns dans les autres. ( 2 micros)

Elisabeth s’écrie : « On voit rien là-dedans ! »  « On ne sait même pas où on va !  Est-ce qu’il y a quelqu’un qui connaît la route ? »                                                                                              

Aline poursuit : « Tu parles ! Est-ce qu’on ne ferait pas mieux d’arrêter ? On est fatigués de marcher ! »

Alice pleurniche : « Maman, j’aime pas marcher dans l’noir ; j’ai tapé dans quéqu’ chose, je m’ suis fais mal au genou… »

Marie de rétorquer : « Mais aussi, t’as qu’à faire attention ! Va moins vite ! »

Le groupe s’arrête, à mi-chemin, pour écouter Madeleine : « C’est comme moi ! Dans ma vie, je suis dans le noir ; quand je vois autour de moi tout ce qui engendre des petits et des grands conflits : colporter des ragots, salir les autres, alimenter la mésentente en famille, en groupe, en Eglise… Je crois que nos manques d’amour sont responsables de la nuit qui parfois nous entoure. »

Simon ajoute : « moi, j’aime pas quand je vois les parents qui se disputent ! »

Corinne  : « beaucoup de gens sont en difficulté, en précarité, chez nous.  Et pour les chrétiens, les musulmans, les Yazédis qui sont chassés de chez eux, en Irak et en Syrie, tout près de la Terre Sainte, c’est bien le noir complet ! »

 

Pendant la phrase précédente, une étoile lumineuse, portée par  Alexis                                    sort de derrière le bar et rattrape le groupe.                                                                                                     

 Près de cette personne qui porte l’étoile et en son nom, Marie-Paule dit : « Voici ce qu’a dit une jeune femme, qui venait au Secours catholique seulement, mais qui, depuis, est devenue bénévole :  « Moi aussi, j’étais dans la nuit, mais on m’a aidée à m’en sortir. Avec le Secours Catholique, j’ai aimé participer à la réflexion et à la mise en place de l’Epicerie solidaire et du changement de locaux, à Mortagne. Avec toute l’équipe, j’ai vécu un été très riche, pendant le déménagement et l’aménagement des lieux. Pour moi, c’était important qu’ils soient accueillants et respectueux de ceux qui allaient les fréquenter.  Et à présent, j’y vois plus clair.  Si vous voulez, on va faire route ensemble ; vous allez voir ; je crois que je connais le chemin ! »

Et le groupe se remet à avancer, derrière l’étoile brandie bien haut.

Chant : « Peuples qui marchez » avec le 3° couplet chanté par la chorale

 
2° temps :  Un feu dans la pénombre

Germaine :  « Une étoile dans la nuit…
Mais qu’est-ce qu’une petite étoile, dans un grand ciel tout noir ?
Avez-vous vu une étoile éclairer suffisamment le chemin des humains quand il fait nuit ?
Et pourtant ! Et si cette étoile, petite, vacillante, était un indice, un présage, capable de faire signe, de conduire les humains vers une plus grande lumière ? »

Ponctuation à l’orgue  (10 à 15 sec.)
 
Guidé par l’étoile lumineuse, le groupe arrive à la hauteur des 1ères rangées.

Sur la scène, des confirmands  représentant les bergers, allument le feu installé par Gaby (branchent la prise) et s’installent autour de ce « feu » :
  (toute cette installation sur fond d’orgue doux, le temps qu’ils se mettent en place)

Quand le « feu » est allumé et les bergers assis, quelqu’un du groupe guidé par l’étoile, Elisabeth, restée en bas, s’écrie : « Tiens, là-bas, il y a de la lumière ; on dirait un feu. »

Marie-Thé : « Ce sont des bergers, qui gardent leur troupeau. »

Quelques membres du groupe montent et s’installent avec les bergers, autour du feu.  Les autres restent en bas.

Sur la scène, petit dialogue :
Un jeune                           : « Mon grand-père m’a raconté que chez nous, autrefois, c’était comme ça : il y avait un feu dans la cheminée, et autour du feu, on échangeait tranquillement.  On chantait, on mangeait des rôties de mogettes… »
Un jeune                                             : « nous, on fait des feux de camps, avec les scouts. »
Un jeune                                  : « Aujourd’hui aussi, dans nos familles, dans nos foyers, il y a le feu de l’amour qui réchauffe les familles, le feu qui rassemble, le feu de la joie qui illumine nos familles, nos maisons. »
Un jeune : « On en a parlé entre confirmands : quand tout un chacun fait des efforts pour accepter les différences de l’autre, en vue de vivre des vrais temps de fraternité ! »                                                                                                                                                                                                                                                                                     Alors, Quelques accords de djembé pour ponctuer.

Un jeune                                                  :  « Entre jeunes, on s’est dit : ce qui est bien, c’est les amis, les moments en famille, les rencontres d’aumônerie ou de confirmation ; pouvoir faire plaisir aux autres. »  (djembé bref)
Un jeune                                                                                :  « Moi, je vois des signes de lumière dans le bonheur de mes amis et de ma famille, avec de bonnes nouvelles. »  (djembé bref)

Chant : « Nouvelle, nouvelle, bergers levez-vous », avec les couplets 3 et 9 chantés par la chorale.

 
3° temps :  L’éclat des Anges

Germaine :  « Malgré les douleurs et les duretés de l’existence, dans nos familles, autour de nous, il y a de beaux moments de joie et de lumière.
Mais pourquoi la joie, finalement, est-elle plus forte que la tristesse, et la lumière plus forte que l’obscurité ?
Peut-être y a-t-il une autre lumière qui permet tout cela ?
Une lumière plus grande ?  Qui vient de plus loin ? »

Ponctuation à l’orgue  (10 à 15 sec., chaque fois un peu plus joyeux !)

Pendant cette ponctuation, Alexis dépose l'étoile lumineuse près de la crèche

Puis, tout à coup,  la lumière se fait plus éclatante ; tandis que plusieurs « anges », bien éclairés, habillés de blanc, apparaissent sur la scène.

Chant : « Les Anges dans nos campagnes », refrain seulement

L’un des Anges dit aux bergers et au groupe assis : « Bonsoir, chers amis ! Nous venons vous annoncer une bonne nouvelle : un enfant vient de naître, et c’est un enfant de lumière. Votre feu, il vous éclaire un peu, et cette étoile aussi ; mais lui, cet enfant, c’est lui, la vraie lumière, qui pourra éclairer vos vies ; c’est la lumière de  Dieu qui nous aime ! »

Dialogue entre ceux qui sont assis : 

Un jeune                                                « Qui c’est, ceux-là ?  Et qu’est-ce qu’ils viennent nous raconter ? »                                                                                                                                                                               Corinne :   « Ah !  Mais ce sont des Anges…Vous y croyez, vous, aux Anges ? »   
Un jeune                                            « Mais ceux-là, d’où sortent-ils ? »
Un berger jeune                             rétorque alors : « Tu n’as rien compris ! Ces Anges, c’est comme des messagers du ciel. Et puisqu’ils viennent du ciel, cela veut dire que la joie du ciel rejoint la joie de la terre. »
Un jeune                                 ajoute : « Moi, les Anges, j’y crois !  J’en vois plein autour de moi ! Et je suis sûr que je ne suis pas le seul ! »

Plusieurs faits sont alors exprimés, du cœur de l’assemblée, de différents endroits :

M-Andrée :  « C’est la nuit noire pour cette maman, dont le fils souffre d’une maladie mentale sans espoir de guérison. Cependant, cette maman, malgré son désespoir, dans la discrétion, reste pourtant très attentive aussi aux souffrances dans d’autres familles. » 

Annie : « Régulièrement, nous allons rendre visite à notre cousine qui est dans une maison médicalisée.  Elle ne peut ni parler, ni bouger avec son corps. Simplement, elle entend et voit. Quand nous rentrons dans sa chambre, nous voyons une lueur de joie dans ses yeux. Pour nous, cela est un signe de lumière. Et nous la portons par notre prière. »

Anaïs  :  "Je fus baptisée il y a maintenant onze ans, avec l'abbé Pascal Fouchet. Après cela, la foi était en retrait dans ma vie jusqu'à aujourd'hui. En septembre dernier, j'ai fait ma rentrée à l'université de N., où je fus logée dans un foyer catholique de l'Assomption, géré par un couple et une soeur. Ce foyer appartient à l'association du Chemin Neuf.  Nous étions 18 étudiants partageant des moments conviviaux, avec une entraide autant dans les études que dans la vie quotidienne.  Des veillées étaient organisées sur un thème précis accompagné de temps de prière.  Ces temps ont permis d'approfondir notre foi.  Croyants ou pas croyants, nous avons tous marché à notre rythme sur le chemin de Dieu.  Et pour moi, une lumière est venue éclairer ma foi qui, aujourd'hui, n'est plus inconnue."

J-Marie :  "Nous allons écouter maintenant le témoignage de Sœur Christine, une jeune sœur de la Sagesse qui a prononcé ses vœux cette année et qui vient de partir pour Haïti. Les confirmands l’ont rencontrée et elle nous a donné son témoignage lors de la Soirée Missionnaire."

Yann : « Qu’elle me semble loin la Vendée que j’ai quitté il y a un peu plus d’un mois… N’étant jamais allée à Haïti, c’est le cœur grand ouvert que j’accueille chaque jour ce qui m’est donné à vivre. Dès mon arrivée, j’ai été frappé par la ferveur des Haïtiens qui affichent clairement leur foi… Tout es nouveau pour moi. Mais j’ai vite compris que je ne pourrai avancer sans deux mots essentiels :patience et adaptation !...
Ici pas d’arbres de Noël ou de lumières qui scintillent dans la devanture des magasins, pas non plus de supermarchés où regorgent des milliers de jouets. En revanche, Noël gardera son sens premier : la venue de l’Emmanuel, le plus beau des cadeaux que nous puissions recevoir !"

Anaïs

Reprise du refrain de « Les Anges dans nos campagnes »

 

4° temps :  Des cadeaux de Lumière

Germaine :  « Bon, maintenant, c’est pas tout ça !
A présent, il faut aller voir cet enfant qui vient de naître !
Mais au fait, on ne doit peut-être pas se présenter les mains vides.
Et si on pouvait lui faire cadeau de quelque chose de beau, de lumineux ?
Ca lui ferait sûrement plaisir ! »

Ponctuation à l’orgue  (joyeux, 10 à 15 sec.)

De l’autre côté qu’au début, du côté droit, des personnes avancent, lentement.

Le groupe est formé de jeunes, adultes et enfants, dont  Eve, Zoé et Juliette, Coralie, Alice et Simon, Lounys,etc... …                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   
L’orgue joue pendant leur brève avancée.

Ils sont éclairés dans leur marche
Ils s’arrêtent en arrivant aux 1° rangs, pour dialoguer entre eux :  des enfants prennent la parole

Un adulte du groupe, Madeleine,  demande à un enfant : « Qu’est-ce que tu apportes, toi ? »                                           
Lounys : « Oh, moi, j’apporte l’or de la joie et de la paix dans les familles. Par exemple, quand mon petit frère me pardonne, cela me fait très plaisir ! »
Madeleine à un autre enfant : « Et toi, qu’est-ce que tu as ? »                                                                                                                                                                                                                                                           Eve : « Moi, j’apporte ce qu’on vit au caté ;  On voit des signes de lumière dans notre groupe de caté. »
Simon  :  « Moi, j’apporte l’or de la fraternité. Par exemple, aujourd’hui, quand mon copain m’a proposé d’aller voir Nantes-Bordeaux, ou quand ma petite sœur est née, c’est que du bonheur ! »

Ce groupe repart vers le fond, pour participer à la procession accompagnant ensuite l’arrivée de l’Enfant-Jésus…

Tandis que les bergers et les Anges descendent alors de la scène, et se dirigent vers le fond de la salle, afin de participer à la procession qui accompagnera l’arrivée de l’Enfant-Jésus au 5° temps. Il ne reste plus personne sur la scène. 
Après les interventions qui précèdent, et pendant ce double déplacement, orgue doux, le temps que les bergers et les Anges se rendent dans le fond.

 
Alors, Germaine :  « Oh !  Que cette nuit est belle !
Nuit qui voit les humains offrir le meilleur d’eux-mêmes et de leur vie !
Ils apportent ce qu’ils ont de plus précieux, comme l’or donné par les rois mages à Jésus. »

Chant :  « Douce Nuit » (couplets 1 et 2)

Ponctuation joyeuse à l’orgue  (15 sec.)

 

5° temps :  La LUMIERE de Jésus

 
Germaine  :  «  Mais, cet enfant de lumière, si on l’appelait, tous ensemble, peut-être qu’il nous entendrait ?
Peut-être qu’il nous répondrait ?
Mais pourquoi dire « peut-être » ?
Parce que c’est une certitude qu’il viendra !
Appelons-le, par notre chant. »

La chorale lance le chant « Venez Divin Messie »

Pendant ce chant, arrivée de Jésus, la vraie Lumière, du fond, par l’allée centrale, toujours dans la pénombre.

En tête : l’Enfant-Jésus, porté par une maman, Marie, accompagnée de son mari et de ses deux enfants ; ils  représentent Marie et Joseph.

Juste derrière, la Lumière de Bethléem, apportée par 4 scouts.

Puis, le prêtre et le diacre.

Suivis d’une trentaine de personnes (le même groupe qu’au 1° temps, plus ceux du 4° temps, ainsi que les bergers et les Anges), adultes, jeunes et enfants, portant à bout de bras de petites lumières électriques qui brillent dans l’obscurité.                                                                                                                                                                                                                                                                                                  
Aussitôt arrivés devant, Marie et Joseph montent sur la scène, ainsi que le prêtre, le diacre et les scouts apportant le Lumière de Bethléem.

Le groupe portant les lumignons se place devant, près de la scène.

On arrête alors le chant.

Le prêtre accueille l’Enfant-Jésus.

Le couple se place sur la droite de la scène en regardant l’assemblée.

Le prêtre présente l’Enfant-Jésus à l’assemblée.

Acclamations, lancées par le groupe et la chorale, qui démarrent les applaudissements  (orgue, djembé éclatants)

Tandis que le groupe lève bien haut les lumignons au même moment.

Le prêtre dépose l’Enfant-Jésus dans la crèche, qui s’illumine

Puis, il invite les scouts à déposer leur Lumière de Bethléem, démarche expliquée par l'un d'eux, Yann

On éclaire totalement alors la salle.

A l’initiative du Diacre, Michel, annonce d’un temps bref de fête et de convivialité, sur place : on se congratule, on se dit notre bonheur d’être ensemble...

Et l'on entre alors dans la messe de Noël, avec le chant : "Il est né, le Divin Enfant".

 

 

 

 

 


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