Bienvenue !

Vous avez des choses à dire...
Vous vous posez des questions, pour donner un sens à votre vie...
Vous cherchez un espace d'échange convivial pour exprimer ce que vous ressentez...
Vous attendez des réponses à vos questions...


...Alors, en réponse à vos attentes, Olivier Gaignet vous propose de vous exprimer librement.
Ici, tout pourra être dit dans les limites de la courtoisie et du respect mutuel.

Merci d'avance de votre participation.


Depuis novembre 2007, Olivier Gaignet partage sur son blog ses réflexions sur Dieu et sur l’Eglise. bien sûr,
mais aussi sur la marche du monde. Il nous invite à réfléchir à des thèmes aussi essentiels que : notre société, les autres religions,
la télé, la politique, l’art, sans oublier ses propres paroissiens.
Les billets des cinq premières années (de novembre 2007 à septembre 2012 )ne figurent plus sur ce blog. Pour les consulter, se référer aux cinq volumes intitulés: "Ma paroisse.com", que vous pouvez vous procurer en envoyant un mail à : olivier.gaignet@yahoo.fr



vendredi 1 juillet 2016

Billet n° 1.968 : Blog moins régulier en juillet ! Merci de votre compréhension, et bel été !


C'est le temps béni des congés!  ( du site du diocèse d’Arras)

Nous voici enfin dégagés des soucis quotidiens et comme enivrés par un sentiment de liberté. N'est-ce pas, plus que jamais, l'occasion de nous tourner vers Celui qui nous attend ? Profitons des vacances pour lui donner un cœur vacant, comme le dit finement cette prière au Seigneur de l'éternel été (tirée du bulletin diocésain d'Arras, «Reflets de la Bresle» 76).

 

Tu es le Seigneur des vacances,
pas seulement des vacances scolaires ou des congés payés!
Non ! Le Seigneur de la vacance, du vide.
Nous, nous aimons les vacances pour faire le plein d'énergie, de santé et de bonne humeur.


Nous disons que la vie quotidienne nous épuise, nous vide.
En fait, notre cœur n'est pas souvent vacant pour être à ton écoute.
Le travail, les soucis, les détresses y sont des locataires encombrants.
Pour emménager dans notre cœur, tu voudrais bien, Seigneur,
qu'il y ait un peu de place, un peu de vide.


Si nous voulons faire le plein de ton amour, il nous faut vider les gêneurs,
Les empêcheurs d'aimer, les replis sur soi, les regards venimeux, les méfiances égoïstes.

Toi, Seigneur, qui attends la moindre vacance
Pour t'installer aux cœurs des hommes, aide-nous à rentrer en vacances.
Sois le Seigneur de l'éternel été, donne-nous la plénitude de la tendresse.
Le soleil, la belle nature retrouvée, beaucoup de temps pour soi et les siens.